Absolument débordée
Vous pouvez avoir des nouvelles de Zoé Shepard et des publicatins s'y rapportant sur la page Facebook.
Le groupe groupe officiel de soutien à Zoé Shepard a été créé
Zoé Shepard est présente aussi sur Twitter.
3 mars 2010, J-1 pour Zoé dont le premier livre sort demain en Librairie.
Absolument débordée ! de Zoé Shepard chez Albin Michel.
Il y a déjà eu quelques interview écrites dont celle ci : Zoé Shepard en entretien, des extraits publiés : le Figaro Magazine.
En ce moment elle tremble pour ses premiers entretiens radiophoniques, demain elle commence par Nicolas Demorand sur France Inter erreur de ma aprt, je suis confuse, elle sera chez Demorand vendredi matin trés tôt à partir de 6h50, pour enchainer par Morandini sur Europe 1 entre 12h50 et 13h30.
Pour trouver son livre rendez-vous chez votre libraire habituel ou sur les sites habituels.
Tous les articles parlant de Zoé sur ce blog :
1 - Absolument débordée
2 - Toujours débordée
3 - Ils sont débordés
4 - La tête de Zoé
5 - Putain deux ans
6 - Honni soit qui mal y pense
Elle va perdre son job, je ne
Elle va perdre son job, je ne comprends pas qu'elle ait pu commettre une erreeur pareille
FAN
Bonsoir,
Moi, j'ai fini ce magnifique livre hier soir et pour certaines parties, j'en rigole encore pas mal. En effet, la collectivité pour laquelle je travaille comporte pour de nombreux traits des similitudes avec celle dans laquelle a atterri Zoé.
Alors, bon je ne pense pas m'évader au Sénégal pour construire une école, mais vivement que je m'évade de là !
Dîtes-lui que je suis une grande fan ! Elle a (eu ?) un blog, je crois. Quelle en est l'adresse ?
Hélas ce n'est pas une
Hélas ce n'est pas une exception, ni la situation générale heureusement... Mais dans toute Collectivité Territoriale, administration d'État ou grosse entreprise privée on retrouve ce genre de chose, des gens qui bossent comme des fous et d'autres qui... glandent, agitent le vent et savent communiquer efficacement pour grimper les échelons de la reconnaissance...
Pas toujours facile à vivre pour ceux qui bossent, qui voudraient bosser mais n'ont pas de dossiers en cours, sont mis au placard pour X raisons, dont les compétences sont sous employées etc...
Bon courage à vous et bonne évasion ;-)
Son blog est devenu privé, je ne peux donc vous communiquer le lien, désolée
A good idea
Merci
J'avais entendu une de ses
J'avais entendu une de ses interviews (chez Morandini ^^).
Il lui reprochait de se cacher derrière un pseudo.
Je ne sais pas trop quoi penser du fait d'avoir écrit un livre sur ce sujet...d'un côté ça risque d'énerver un peu les gens qui pensent déjà que les fonctionnaires ne foutent rien et d'un autre il faut bien avouer que dans la fonction publique tout ne tourne pas rond.
Ma soeur est fonctionnaire et elle trime dur, son équipe est réduite au minimum, ils en bavent...
Je suis dans la fonction publique mais en tant que contractuelle et je suis parfois effarée de ce que je vois, de la façon dont cette machine lente fonctionne.
Mais je ne suis pas crevée quand je rentre chez moi et je bois plus de cafés/clopes au boulot que chez moi ;-)
Quand on voit la violence
Quand on voit la violence qu'il y a eu dans certaines réactions notamment sur l'article du Figaro, on peut comprendre qu'elle ait prit un pseudo, sans compter qu'elle est toujours fonctionnaire, même si elle n'est plus dans la structure qui lui a servit de "modèle" (ça j'en sais rien) imagine l'accueil des collègues le matin ;-)
Ben si comme elle le dit ça lui a servi d'échappatoire pour éviter de devenir complétement dingue, pourquoi pas, et puis ma foi il faut bien que les choses soient dites un jour, alors que ce soit fait de façon humoristique que par une étude sociologique barbante qui ira prendre la poussière ;-)
La fonction publique recouvre tellement de métiers que dieu merci tous ne sont pas logés à la même enseigne, le milieu médical est débordé (réellement) le milieu enseignant face aux élèves ne peut guère se permettre de glander, en fait tous ceux qu sont en contact direct avec le public sont soumis à une pression croissante, les administratifs derrières fonctionnent bien souvent grâce aux petites mains, c'est au niveau supérieur qu'il y a le plus de bugs ;-) Sans compter que dans certaines CT il n'est pas obligatoire d'être fonctionnaire pour être chef de service, (et pas du tout pour être au cabinet) on peut y arriver parce que l'un des élus est ton ami (privé, politique...) et souhaite te faire un cadeau, dans ce cas pas de contrôle de tes compétences, un salaire correct, un poste pas tuant puisque tu as des sous fifres pour bosser pour toi, si tu le prends à coeur ça peut être épuisant parce qu'il faut se tenir au courant, se former un peu, si t'es je m'en foutiste ou mieux tu écoutes les fonctionnaires qui te donnent des conseils, au pire tu les envoie bouler en essayant de faire ce que tu veux comme tu veux et là on peut arriver à des trucs barges et limite légaux ;-)
Quand au rythme de travail selon les endroit en effet il n'est pas toujours très soutenu, mais dans le privé aussi parfois, si la boite est suffisamment grande y'en a qui arrivent bien à se planquer pour en faire le moins possible ;-)
En tout cas si tu as l'occasion de le lire vas y, il est très drôle ce bouquin, et c'était le but premier de l'auteur, nous faire rigoler
Il se trouve...
Il se trouve que je travaille dans la même collectivité que l'écrivaine en herbe. Je viens de lire les extraits choisis par Le Figaro et la teneur de l'entretien qu'elle leur a accordé.
Je la plains, d'avoir vécu tout cela, si jeune, si tôt. J'ai toujours pensé qu'il ne fallait pas entrer comme jeune fonctionnaire d'une grande collectivité à un poste "si élevé", sans expérience préalable, avec toutes ses illusions personnelles bien chevillées au corps, et le sentiment débordant que l'on va changer le monde.
J'ai passé 12 ans en tant que contractuel de la FTP, cela m'a permis de tisser des liens avec de petites collectivités, des élus locaux, ni tout à fait parfaits, ni complètement mauvais. Des gens comme moi, avec leurs faiblesses récurrentes, leurs passion parfois envahissante mais un irrépressible gout pour le contact humain.
Et le poste que j'occupe, en ce moment, est juste le prolongement d'un parcours logique, acquis lors d'un entretien d'embauche digne de ce nom...
J'espère que cette demoiselle, dont le ton littéraire est moins picaresque qu'on aurait pu l'imager eu égard à... son passage à l'INET, trouvera des lieux d'épanouissement professionnel et personnel, et des raisons d'inspiration plus heureuse.
Pour ma part, je suis bien dans cette collectivité, je m'épanouis dans le travail et quand je vais au restau administratif, je ne me plains pas (les menus sont équilibrés, variés, je n'ai peut être pas la délicatesse gastrique d'un administrateur). Je trouve rarement la file d'attente... Mais, c'est vrai, je n'y vais pas à horaire fixe, je n'ai pas de petites habitudes quotidiennes.
Ce qui m'a le plus peiné, ce sont moins les intentions (au demeurant pas très claires) de l'écrivaine, que l'instrumentalisation qui en a été faite (l'éditeur, les interviews...)
Pour dénoncer des évènements ou des situations insupportables, mieux vaut encore l'efficacité d'un Gunther WALLRAFF à mes yeux. Du journalisme d'investigation, ou alors prendre des engagements syndicaux, par exemple.
Amitiés
Fremen
Merci pour votre long
Merci pour votre long commentaire.
Vous êtes certains de travailler dans la même collectivité qu'elle ?
Je vous pose la question car au vu des statistiques de visite du blog j'ai un très grand nombre de visites de 3 grandes collectivités territoriales de diverses région principalement, et un peu moins de quelques autres...
Il semblerait qu'après lecture certains aient cru la (se) reconnaître ou identifier un de leur collègue ou une situation et foncent sur toute l'information disponible.
C'est assez amusant à observer d'ailleurs et une grande partie du pays se sent concernée.
Dans un premier temps les recherches étaient liées au titre du livre et depuis deux à 3 semaines c'est très largement le nom de l'auteur qui est utilisé, inflexion du point de vue ;-)
Certes ma curiosité est titillée par cette évolution des stats de visite mais je ne chercherai pas à savoir où elle travaille, ça n'est pas nécessaire, qu'est ce que ça changerai ? Rien... Et ça m'étonnerai qu'on le sache un jour, j'imagine très bien le service de communication d'une collectivité annoncer "nous avons dans nos murs l'auteure Zoé Shepard, nous avons très bien reconnu notre collectivité dans sa description... Une séance de dédicace sera organisée dans le hall, mardi prochain" Ça aurait un certain panache mais ça risque d'être "suicidaire" pour tout le monde ;-)
Par contre je suis surprise quand vous parlez d'un entretien accordé au Figaro car il n'y en a pas eu, juste un extrait de son livre que je ne saurai trop vous recommander de lire au complet ;-) Les entretiens, il me semble en avoir vu assez peu en fait.
Vous avez eu un parcours professionnel différent de l'auteure qui vous convient et c'est tant mieux, vous vous épanouissez dans votre fonction et mangez bien au restaurant d'entreprise ;-) c'est parfait.
Toutefois ne perdons pas de vue que :
ce livre décrit SON expérience et SON ressenti et à aucun moment elle n'a dit que c'était le cas général,
Cette histoire a été romancée pour, sans doute en partie, le plaisir du lecteur mais également préserver l'anonymat de l'auteure et de sa collectivité, donc toutes les situations et personnages ne sont probablement pas à prendre tels quels, enfin je l'espère.
Lorsque vous abordez le recrutement de jeunes fonctionnaires à un poste élevé sans expérience préalable là il faudrait changer les règles de recrutement des catégories A, pourquoi pas. Mais on ne peut lui reprocher, morsque l'on a suivi un long cursus d'études, obtenu un concours difficile, il semble logique que l'on ait envie de travailler au niveau pour lequel on a été formé, le fonctionnaire n'est pas différent des autres, et lorsqu'un poste est proposé dans une grosse structure, certes on peut avoir des illusions de jeunesse, mais il ne parait pas aberrant de se dire que c'est une superbe opportunité pour faire son job dans de bonnes conditions, (il y a ce genre de réactions aussi dans le privé) on n'est pas sensé savoir que les grosses structures fonctionnent de façon parfois.. surprenante ou alors il faudra ajouter un module au cursus de l'INET ;-)
L'instrumentalisation faite de ce livre, je ne crois pas qu'en tant que jeune auteure elle ait eu un poids quelconque dans la stratégie de communication de son (gros, grand) éditeur, c'est dommage en effet mais... Peut être aura-t-elle plus de poids si elle publie un second ouvrage un jour ;-)
Certes ce livre n'est pas un document de journaliste d'investigation, de psytruc ou sociologie, ne se pose pas en exemple ou mode d'emploi, mais il n'a jamais été vendu comme tel, c'est un livre agréable à lire, drôle, amusant et parfois énervant, c'est une œuvre de divertissement romancée donc son but est atteint...
Je vais insister, mais si vous en avez l'occasion lisez le au complet, ne vous contentez pas des extraits que vous pouvez trouver ici ou là, même si cela n'atteint pas le niveau littéraire de vos lectures habituelles je pense que vous passerez un bon moment.
Z
Quels sont les nom et prénom de Z ? La collectivité concernée ? Le temps presse de l'aider.
La collectivité vous la
La collectivité vous la trouverez dans un autre article, qunad au nom je ne peux vous le communiquer ne le connaissant pas.
Z
Merci Mille
Sans ou avec son nom- Savez-vous si certains (es) souhaiteraient l'aider ? Merci
A ma connaissance rien n'est
A ma connaissance rien n'est organisé, mais la page Facebook de Zoe shepard vous informerai mieux je crois
Je suis un ouvrier du privé
Je suis un ouvrier du privé je travaille en atelier, certe pas à la chaine et pas dans une usine, mon travail, la Métallerie est intéressant, valorisant....
Mais il nous est ABSOLUMENT IMPOSSIBLE de nous planquer, notre ouvrage se construit à la vue de tous, chacun sait ce que fait son voisin, il y à donc émulation et entraide (relative).
Nous sommes à des années lumière du j'en foutisme ambiant de la fonction publique...(Nous le constatons quand nous intervenons en pose ou entretient d'ouvrage dans les bâtiments public)
Nous, nous produisons réellement un ouvrage souvent à forte valeur ajoutée que le patron va vendre et qui rapportera à l'état bien plus que notre salaire (correct certe mais mérité).
Alors à la pose, pendant chaque grève de la fonction publique, les commentaires fusent, ''fait-néant, profiteur, planqués'' et le dernier qui est nouveau et "inquiétant"....y en à marre de leur gagner leur croute. Inquiétant, parce que celui là n'est pas un propos de comptoir, mais il résume un malaise qui s'installe, ce commentaire n'existait pas il y à 30 ans.
Les ouvriers produisaient, les fonctionnaires géraient, ce pays tournait rond, depuis...
En Mai 1968 j'avais 18 ans et les anciens de l'atelier n'aimait pas le mouvement étudiant, les hommes de métier ne sont pas descendu dans la rue....
En 1789 oui.
Voilà la réflexion que m'inspire la lecture du livre de Zoé.
he oui c est bien comme
he oui c est bien comme çà
trop de petits chefs qui ne veulent jamais prendre de décision sans en référer au niveau sup et comme la chaine est longue et quee c est pour tous la même chose il faut attendre parfois longtemps pour que la décision finale redescende....a condition qu'il n'y ait pas un manquant dans la chaine.......c'est comme çà que j'ai perdu 3 ans de retraite ...........